Le Décret Paysage, qui régule l’enseignement supérieur en Fédération Wallonie-Bruxelles, a connu plusieurs évolutions depuis sa création en 2013. Conçu à l’origine pour offrir plus de flexibilité grâce à un système d’accumulation de crédits, il a été profondément réformé par la réforme Glatigny dès 2022-2023, puis à nouveau ajusté en 2024. À partir de la rentrée académique 2025-2026, le décret revient à ses principes initiaux, avec une progression plus stricte et des règles de finançabilité renforcées.

Les études ne sont pas organisées en « années d’études » successives (BA1, BA2, BA3), mais reposent sur un système d’accumulation de crédits. Vous êtes inscrit·e dans un programme de bachelier ou de master, dans lequel vous avancez progressivement en réussissant les cours qui le composent. Chaque cours correspond à un certain nombre de crédits, et l’ensemble du programme totalise 180 crédits (bachelier), 120 crédits (master en deux ans) ou 60 crédits (master en un an ou master de spécialisation).

Le Décret Paysage utilise un vocabulaire spécifique. Un cours est appelé unité d’enseignement et peut comprendre plusieurs activités d’apprentissage : cours magistraux en auditoire, travaux pratiques, laboratoires, cours de langue, exercices dirigés, séminaires, projets, stages, etc.

Enfin, la vie académique est encadrée par le Règlement général des études de l’ULB. Ce document, commun à toutes les facultés, fixe les règles relatives aux évaluations et aux jurys, tout en intégrant des dispositions particulières propres à chaque faculté.

 


 
Mis à jour le 8 septembre 2025